Un concours de potions détonnant

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Ce jour-là, le Chemin de Traverse était bondé. Les gens allaient et venaient, bavardaient sur le palier des boutiques, couraient après leurs enfants, observaient avec envie les étalages des vitrines ou tout simplement… marchaient ? C’était en tout cas ce que faisait Line, son chapeau de sorcière noir, orné d’une ceinture avec une boucle, enfoncé sur sa tête pour être moins reconnaissable. Car le problème, lorsqu’on était directrice de la plus célèbre école de sorcellerie au monde, c’était qu’on passait difficilement inaperçue. Malheureusement.
La jeune femme espérait profiter de vacances scolaires tranquilles, ce qui ne serait sûrement pas le cas. Mais bon, elle était loin d’atteindre le niveau et la notoriété du meilleur directeur que Poudlard ait jamais eu : Albus Dumbledore. Et ma foi, elle ne s’en plaignait pas. Car d’après ce qu’elle savait, il y avait autant de gens à détester Dumbledore qu’à l’aimer. Bon, peut-être plus lui sont sympathiques, surtout à présent que le plus grand mage noir de tout les temps était réduit à néant. Oui, Lord Voldemort n’était plus…
Pour elle qui l’a connu, pour elle qui avait déjà douze ans lorsqu’il a disparu, son nom signifie encore quelque chose… et quelles choses…

Ces pensées furent brouillées lorsqu’elle sentit un doigt pointé sur elle. Un doigt d’enfant qui l’avait reconnue, malgré son chapeau, malgré sa robe prune tout à fait banale, excepté les manches courtes et le raccourcissement vers la bas à cause des grandes chaleurs d’été, malgré ses cheveux en queue de cheval et ses lunettes à faux verres. Zut alors. Décidément, rien n’échappe aux enfants.

Line accéléra le pas afin de ne pas être au centre d’un groupe de curieux et de photographes déments. Alors qu’elle courait presque, la jeune femme passa devant un attroupement de personnes, et d’après les odeurs qu’elle sentait sans les voir, c’était quelque chose en rapport avec les potions. On ne dupe pas une ancienne professeur de potions. Certaine d’avoir trouvé l’échappatoire aux appareils photos et aux grands titres, elle s’avança parmi la foule et devint invisible aux yeux de tous, une sorcière parmi les autres.

A présent qu’elle était ici sans pouvoir bouger pendant encore un moment, elle pouvait suivre à tout loisir le concours de potions pour amateurs qui se déroulait sous ses yeux. Elle vit avec une grimace un jeune homme constellé de tâches de rousseur rajouter de la poudre de scarabée alors qu’il n’en avait nul besoin à ce stade de la préparation. Car sans avoir eu à se poser la question, elle savait parfaitement que la potion à préparer était de l’amortentia, le philtre d’amour.
En voyant la potion du roux passer au vert au lieu de conserver une belle couleur bleue, elle eut un sourire. La voici revenue dans son élément.

Le jour où Noa se décida à acheter ses fournitures, il faisait une chaleur intense sur le Chemin de Traverse. Bien évidemment, Noa aurait pu envoyer quelqu'un pour faire la commission à sa place, mais à quoi bon ? Les elfes de Maisons, ils sont très serviables, d'accord, mais franchement, pour s'attirer du respect...
Ainsi donc, Noa avait pris sur elle même. La charmante brune s'était levée ce matin là en pensant à une journée bien tranquille... Raté. Quand elle avait découvert sur son calendrier qu'il ne lui restait plus qu'un bon mois pour préparer ses fournitures scolaires, son planning, son emploi du temps, Noa s'était affolée.
Alors, avec la ferme intention qu'avant dix-huit heures elle aurait toutes ses fournitures, Noa s'était maquillée, coiffée, et habillée. N'était-elle pas adorable quand elle était déterminée ?
Grâce à la miraculeuse poudre de cheminette, Noa avait atterri dans une grande boutique de Prêt-à-Sorcier. Très bien, elle pouvait commencer par se procurer ses vêtements.

Ainsi, la bourse s'allégeant de minute en minute, Noa parcourait les magasins, et de temps en temps, elle barrait un mot de la grande liste qu'elle tenait à la main.
Après deux heures passées sur le Chemin de Traverse, il faut dire que vous êtes fatigués. Et c'était le cas de Noa. Elle comptait passer vite fait chez l'apothicaire pour acheter un nouveau stock d'ingrédient, avant de s'arrêter à l'ombre d'un des parasols de ses boutiques, en train de siroter quelque chose ou de manger une délicieuse boule de glace. Après cela, Noa pouvait respirer, elle pouvait rentrer. Car, bien que la jeune fille se promener léger - c'est-à-dire sans une dizaines de paquets sous le bras - elle était tranquille. Tout avait été acheté, empaqueté, posté et recommandé avec soin à Noa O'Vell. Ben oui, ça servait d'avoir une bourse pleine et un nom respecté.

Tandis que la première partie du programme de Noa était exécutée, une foule qui se précipitait en face de l'apothicaire éveilla la curiosité de la jeune fille. C'est vrai qu'en étant dans l'allée des Potions, beaucoup de choses pouvaient se passer. Un accident est si vite arrivé...
Noa haussa un sourcil en voyant la foule accueillir sa directrice. Joli déguisement. Noa aimait particulièrement les lunettes. Enfin... Même si la jeune femme espérait passer incognito, on ne trompait pas d'un petit costume l'œil attentif d'une O'Vell. Surtout d'une Noa O'Vell.
La voix de l'apothicaire lui fit remarquer qu'elle bloquait le passage. Noa n'aimait pas que lui faisait remarquer quelque chose. C'était désagréable. Alors, d'un air impérieux, Noa pris son paquet, ouvrit la porte, et se retrouva dehors, au milieu d'une foule de sorciers excités.

Noa jeta un coup d'œil sur ce qui intéressait tant ces gens, et vit avec surprise un concours de potions. Impossible ! Noa O'Vell était au courant de tout et pourtant, elle l'ignorait ! Quel calvaire...
Alors, pour mieux se sentir, peut-être, Noa se concentra plus sur la scène. Voyons, voyons. En s'informant, Noa apprit qu'on préparait un philtre d'amour. D'après le peu qu'elle savait sur cette potions, elle déduisit que la potions de la jeune fille blonde à côté de la porte était celle qui pouvait le plus gagner le prix. Elle était parfaite, il fallait le dire.
Noa la regarda un instant, et soupirant d'un air tranquille, elle se dit que la journée pouvait être plus intéressante que prévu.

C’était une de ces journées de grande chaleur, une de ces matinées de Juillet où votre seule envie se résume à vous prélasser au soleil en lisant de vieux magazines et en sirotant un verre de grenadine bien frais. Malheureusement, cette journée qui aurait dut se passer dans le calme et la sérénité se trouva troublée les cris aigus de la mère de Lyle.

« Lilouuuuuuu !!! Descend ma chérie. »

Une fois. Lyle fut brusquement réveillée de la manière la moins souhaitée possible, manquant de tomber du lit. Se prenant les pieds dans les draps, la pauvre victime s’étala de tout son long sur le parquet de sa chambre. Se relevant à grande peine d’un choc aussi rude à une heure pareille. En effet après un coup d’œil à son réveil elle constata qu’il n’était que sept heures. Bouillonnante de colère d’être réveillée aussitôt et encore somnolente, elle ne bougea pas d’un poil et retourna dans son lit.

« Lyle dépêche toi enfin… »

Deux fois. Elle se dirigea mollement vers la salle de bain afin de passer de l’eau sur son visage. Jetant les premiers vêtements qui lui tombaient sous la main sur sa chaise, elle entreprit de démêler la crinière rose qu’elle avait en guise de cheveux. Elle enfila à la hâte une courte robe mauve par-dessus un jean noir, des bottes montantes noires elles aussi et une casquette blanche sur le sommet de son crâne.

« Liliane Pénélope Bradley, descend immédiatement ! »

Trois fois, la dernière, son père ce coup-ci. Pourquoi le monde nous donne t-il des parents pour nous pourrir l’existence. Furieuse et de mauvaise humeur, Lyle descendit avec résistance les escaliers avant d’arriver devant sa mère qui frétillait sur place et son père captivé par une émission de catch à la télévision. Cherchant à savoir la raison de ce réveil prématuré, sa mère la coupa vivement, lui annonçant à son plus grand malheur qu’elles deux passeraient leur journée à faire du shopping sur le Chemin de Traverse. Le teint de la Serpentarde prit soudainement la même couleur que sa maison. Devoir faire des courses était déjà suffisamment pénible, alors avec une mère qui vous affuble constamment de surnoms ridicules, qui adore vous acheter des horreurs impossibles à décrire tellement c’est laid et qui reste trois heures dans chaque boutique, on s’en passera. Quelle déveine, vraiment.

« Je t’aurais bien accompagné, mais aujourd’hui c’est catch, je ne peux pas rater ça. »

Le catch… Lyle elle aussi aurait préféré rester sur le divan pour le regarder, mais on n’échappe pas à son destin. C’est ainsi que la mère et la fille se retrouvèrent sur le Chemin de Traverse. L’une émerveillée par une horrible robe jaune canari en vitrine d’un magasin de vêtements, l’autre pressée d’en finir. A plusieurs reprises elle tenta de semer sa génitrice, ce qui arriva enfin au quatrième effort. La liste en main, elle décida d’acheter le nécessaire et de garder son argent de coté pour l’achat d’une casquette neuve. Après avoir acheter ses manuels, elle passa devant l’apothicaire afin de voir si pour une fois il disposait d’articles intéressants, avant de voir que le passage était bouché par un attroupement de sorciers. Lyle reconnu le ridicule chapeau de la directrice de Poudlard, ainsi qu’une autre élève dont elle ignorait le nom. Enfin, elle s’en fichait, ce qui l’intéressait c’était ce qui intéressait tous ces gens. Poussant sans gène ceux qui lui gâchait le spectacle, elle reconnut l’odeur de l’amortentia. Soit elle n’en avait jamais encore fait, mais elle en avait reçu à la St Valentin l’année passée. Un concours de potion, hein ? La fille blonde semblait avoir une nette avance sur son adversaire. Un concours d’accord, mais c’est quoi le prix ? Lyle aimait les défis, quoique cette potion elle ne la connaissait pas, mais elle avait toujours été douée dans cette matière. Un deuxième round peut-être ?

Si son déguisement n’avait pas échappé à ces deux élèves qui, décidemment, étaient trop observatrices pour Line, celle-ci se sentait à l’aise derrière ses vêtements. De toute évidence, ils la cachaient à la vue au moins de la foule qui l’entourait. Pour l’instant, du moins.

Un coup d’œil derrière elle. Noa O’Vell. Une élève un peu trop maniérée pour la jeune directrice qui ne se lassait pourtant pas de l’observer à chacune de ses réactions, l’étonnant un peu plus à chaque fois.
Deuxième arrivante, après un groupe de garçons qui arrivaient les mains dans leurs poches. Lyle Bradley. Petite rebelle égocentrique aux cheveux roses à la suite d’un mauvais sort, dont les casquettes avaient toujours passionnées Line autant que Noa elle-même. En fait, chacun de ses élèves l’intéressaient, et c’était presque si elle avait pu écrire une bibliographie sur chacun d’eux. Elle les connaissait tellement, sans qu’ils s’en rendent compte, qu’elle s’en sentait vraiment proche. Peut-être à sens unique.

Line eut un sourire en coin. Et si on faisait un peu honneur à Poudlard.. ? Une idée avait déjà germé dans son esprit, comme tant d’autres qui lui avaient valu autant de succès que de désapprobation. Et avant qu’elle ait pu songer seulement à l’enlever de sa tête, elle se retourna.

Eh, les filles… Il y a un filtre d’amour à gagner et deux places pour le concert des Strange Stripes… En clair, un petit copain assuré avec qui aller voir un groupe du tonnerre. Ça vous tente ?

Elle leur fit un clin d’œil, sachant très bien que Lyle était douée en pratique et que Noa avait plus d’un tour dans sa manche.

Etouffant dans l'immense foule de capes et de robes qui se pressait, lui semblait-il, tout autour de lui, Feanley progressait néanmoins tant bien que mal sur le chemin de Traverse.

Il se demandait si finalement, il n'aurait pas préféré rester dans ce bar obscur et étrange, qu'il avait trouvé derrière la porte. Rapidement d'ailleurs, il avait été mené à un homme accompagné d'un groupe d'enfants de son âge. M. Stanley Kromps, membre du ministère de la magie, les avaient assis autour d'un grande table, puis avait formés deux groupes, dont un resterait avec lui tandis que l'autre serait libre d'acheter ses fournitures dans l'ordre qu'il préfèrerait. Géné par la présence des autres, Feanley s'était inscrit dans le deuxième :
" Tu n'as rien à craindre. " lui avai dit Stanley, "avec tout le monde qu'il y a en cette période de rentrée, personne ne va s'amuser à attaquer des enfants. Si jamais tu te perd, n'hésite pas à demander ton chemin ! ". Stanley avait donc commencer à rechercher tout les magasins dont Stanley lui avait donné la liste. Il avait déjà acheté ses livres et quelques fourntures comme ses plumes et son encre.

Il se rendait au magasin de potion afin d'acquérir son chaudron et son nescessaire à potion, lorsqu'il tomba en plein sur le concours. Il s'infiltra rapidement dans la foule, apercevant brièvemnt deux filles et une jeune femme qui se faisaient face.
Il s'aperçut alors que toute cette agitation était causée par trois personne qui dans de gros chaudrons de cuivre, prépraient une espece de soupe rose avec des plantes que Feanley n'avait jamais vu.

Soudain, il y eut une brusque explosion de fumée rose, et la personne devant Feanley recula brusquement et le poussa. Battant l'air de ses mains, il tomba en arrière et s'accrocha à quelque chose dans sa chute. Se redressant, il se rendit compte qu'il avait entrainé dans sa chute, une des filles qu'il avait aperçu avec la jeune femme. Il lui rendit sa casquette sur laquelle il se trouvait avec un air coupable : " Je suis vrai...vraiment désolé " bafouilla-t-il confus et gêné.

Spoiler:

Il était passionnant de voir ces sorciers s'acharner sur ces ingrédients dans l'espoir d'obtenir un Amortentia convenable. Seulement, après une demi-heure à contempler les participants du concours, même Noa sentit que cela n'était plus aussi intéressant. Manœuvrant un repli stratégique, quelque chose l'empêcha pourtant de partir. Sa directrice !... et ses douces paroles :

"Eh, les filles… Il y a un filtre d’amour à gagner et deux places pour le concert des Strange Stripes… En clair, un petit copain assuré avec qui aller voir un groupe du tonnerre. Ça vous tente ?"

Plaît-il ? Que lui proposait-elle ? Le Pr. Drégée n'espérait-elle pas seulement qu'un élève de Poudlard participe au concours pour redorer le blason ?
Venant d'une directrice, ça n'étonnait guère Noa. Mais ça n'intéressait pas beaucoup Noa. Et comment refuser poliment cette offre ?
Tandis que Noa se fatiguait ainsi les méninges, elle n'avait pas remarqué que l'autre concernée de cette offre venait d'être "piétinée" par un garçon, qui d'après sa taille et son air embarrassé, ignorant parfaitement qui il venait de bousculer.
Ainsi, lorsque la jeune brune décida de se retourna aimablement vers Lyle Bradley pour l'inciter à répondre en premier, quel ne fut pas son désarroi en voyant devant-elle un tel spectacle.
Mais au lieu d'éteindre le charmant sourire qui s'était étalait sur les lèvres de Noa, celui-ci s'agrandit. Elle voyait là une parfaite excuse pour décliner la proposition de sa directrice.
Tendant une main un peu plus sûr que celle que le jeune inconscient basculeur ne tarderait pas à présenter - pensant que vu la taille de Bradley, elle risquait de l'entraîner dans sa chute (non pas qu'elle ait une silhouette massive : Lyle Bradley était une fille très mince, un peu comme Noa) -, Noa attendit avec un petit sourire ce qui allait suivre.

Line observait sans rien dire les évènements se dérouler avec une rapidité effrayante. C’est fou à quel point les filles peuvent être des pestes ! Car en plus d’en être une (de fille, pas de peste ; quoique…), elle en avait connu une belle, elle aussi…

Mais reprenons dans l’ordre : rien n’avait échappé à Line. Noa était contre tandis que cela tentait bien Lyle. Au moins une sur deux. Avant d’avoir pu connaître leurs réponses, un jeune garçon tombait sur la jeune fille aux cheveux roses, la mettant hors d’elle. Car même si elle ne le traita pas de tous les noms possibles, ce qu’elle aurait bien été capable de faire dans d’autres circonstances, Line le savait, son visage en disait long sur sa pensée.
Petit accident, et c’était loin d’être terminé. Après avoir accepté, la jeune Serpentard défia sans retenue sa congénère de Serdaigle. Elles avaient toutes les deux un caractère bien trempé, pas de problème là-dessus. Et les voilà en train de concourir ensemble pour aller au concert des Strange Stripes.
Ce qu’elles semblaient oublier, c’est que si les deux places étaient pour elles, quelqu’un devrait sortir le porte-monnaie pour payer les garçons avec qui elles iraient. A moins qu’elles ne préfèrent y aller entre « amies », ce dont Line doutait fort…

Partagée entre l’envie de les rappeler à l’ordre au plus vite ou de regarder la suite des évènements en se mordillant l’ongle, comme elle le faisait en pouffant de rire, elle commença par aider le jeune garçon tombé à terre, pour le relever et lui sourire gentiment, au risque de se faire remarquer encore un peu plus.

Ça va ? Lui demanda-t-elle. Pas trop mal ?

Il était aux alentours de dix heures du matin lorsqu'on frappa à la porte de la maison campagnarde de la famille Volutti. Antonio se leva non sans peine et alla ouvrir la lourde porte de bois. Ah, qu'il avait fière allure avec son caleçon à rayures et sa chemise ouverte ! Il clignait beaucoup des yeux, il faut dire que la lumière était aveuglante, surtout pour quelqu'un qui venait de se lever. Enfin. Derrière la porte massive se trouvait un homme massif également. C'était un . . . un quoi ? Comment vous dîtes ? Antonio Volutti fit répéter plusieurs fois à l'homme ce qu'il était. Un . . . un responsable de Poule-et-Lard . . .

« Non merci monsieur, nous n'avons pas besoin de viande en ce moment. », répondit le père de famille avant de commencer à refermer sa porte.

Son interlocuteur poussa un profond soupir et retint le geste d'Antonio. Il était levé depuis longtemps, et lui, responsable des nés-moldus de Poudlard, devait récupérer ces gens, et très peu des parents ne croyaient ce qu'il affirmait. Aussi le grand monsieur répéta une fois de plus sa requête, articulant exagérément :

« Je ne vends pas de viande monsieur. Je suis employé à Poudlard et je viens chercher votre fille pour l'amener acheter ses fournitures scolaires ! »

Antonio écarquilla les yeux. Il venait de comprendre. La lettre. L'école. Sa fille. Sa fille, une sorcière. Mais alors . . . c'était vrai ! Non pas qu'il n'y ai pas cru mais . . . il ne pensait quand même pas . . . Le semi-endormi ouvrit la porte en grand et laissa entrer ledit responsable. Ce dernier resta debout, jusqu'à ce que M. Volutti l'invite à s'assoir sur le petit canapé miteux. Il appela ensuite sa fille.
Kim était réveillée depuis deux bonnes heures, elle lisait dans son lit avant que son père ne l'appelle. Elle descendit immédiatement, sa chevelure blonde emmêlée. En voyant l'inconnu sur le canapé, elle sourit démesurément. Kim avait entendu la conversation de cet homme avec son père, aussi elle savait de qui il s'agissait. Poudlard ! C'était vrai ! Quelle joie en elle, quelle joie ! Kim courut jusqu'à son père et sauta dans ses bras. Puis elle se retourna vers l'inconnu qui se releva et lui serra fortement la main. Celui-ci regarda Antonio et lui expliqua où ils devaient aller. Au Chemin de Traverse, un quartier sorcier de Londres.

Quelques minutes plus tard, Kim était à Londres, ou, plus précisément, au fameux Chemin de Traverse. Elle portait une robe de sorcier que son accompagnateur avait acheté avec ses propres bien, une robe d'un vert sombre que Kim aima beaucoup. Enfin elle put regarder autour d'elle sans que personne ne la voie comme une vulgaire moldue. Que de couleurs ! Des boutiques de chouettes, de hiboux, de livres magiques, de balais volants . . . jamais de sa vie de petite fille ordinaire elle n'aurait cru voir cela ! Son accompagnateur sortit de sa poche un petit papier plissé. La liste des courses, enfin, des fournitures scolaires que Kim devait acheter. Première étape : Gringotts ! Une petite bourse attendait Kim pour qu'elle fasse ses achats.

Mais avant cela, la jeune fille s'arrêta devant un petit stand où mijotaient de nombreuses concoctions aux couleurs étranges. Un concours y avait apparemment lieu, avec à la clef des places de concert. Une dame blonde et souriante avait proposé de participer à deux jeunes filles, l'une était contre. Puis un pauvre petit garçon qui devait avoir l'âge de Kim tomba sur l'une des participantes, avec des cheveux roses. Cette dernière commença à s'enflammer de l'intérieur. Puis elle lâcha une belle réplique à l'autre participante, qui elle proposa de faire équipe. Enfin la dame blonde se baissa et aida le garçon à se relever, en lui demandant si il allait bien.

Kim regarda la scène sans broncher. Elle ne comprenait pas tout, mais elle s'efforça de ne pas poser de questions. Enfin, elle s'approcha de la dame blonde et lui demanda néanmoins, poussée par sa grande curiosité :

« Excusez-moi, savez vous où je pourrais trouver une baguette magique ? C'est que je ne viens pas d'une famille de sorciers et . . . »

Kim mit sa main sur sa bouche et arrêta de parler. En avait-elle trop dit ? Et sa demande n'était-elle pas . . . peut appropriée ?

Spoiler:

Line venait de poser la question au jeune garçon – à savoir s’il allait bien – lorsqu’une blondinette (décidemment, c’était l’attroupement aujourd’hui), s’avança vers elle pour lui demander où elle devait acheter sa baguette magique. A la fin de sa phrase, elle mit une main sur sa bouche. Avait-elle reconnu Line ? La jeune femme finit par penser que cette jeune fille ne la connaissait pas.
Elle répondit gentiment :

Tu arrives à t’y retrouver, dans cette cohue ?

Line réfléchit un instant. Elle aurait vraiment aimé voir se dérouler la suite du concours. Mais elle n’allait tout de même pas laisser cette petite en plan. Elle fronça alors les sourcils.
Tu n’es pas avec un sorcier, normalement ? Et toi ? Demanda-t-elle en se tournant de nouveau vers le jeune garçon.

Tous les nés-moldus étaient normalement accompagnés, Line le préférait ainsi. Apparemment, ces « gardes du corps » étaient trop peu vigilants, il faudrait qu’elle les reprenne à l’ordre.

Aujourd'hui est un jour tout à fait comme les autres, il fait beau, pas l'ombre d'un nuage, rien de plus à demander pour le temps, il fait si chaud qu'on peut ce mettre en maillot de bain, nancy, elle, est habillée d'une jolie robe violette qui descent jusqu'aux genoux, un petit chapeau de paille sur la tête et de petites sandalles violette aux pieds, comme bijoux: Des petites boucles d'oreilles en argent et un simple collier.
Ce jour là au chemin de traverse, ce trouve beaucoup de monde, c'est bondé, à croire que les gens adorent faire du shopping, Bof, Nancy n'a rien à leurs dire puisque elle adore faire les boutiques aussi, et puis... chacun fait et aime ce qu'il veut.

Et au faite, Nancy n'est pas là pour elle, mais pour sa boutique, oui, elle cherche de quoi décorer le magasin de farces et attrapes, par exemple: des rideux parfumés à la pomme. c'est original et ce n'est pas un parfum désagréable.
Alala, ici, ce qui est bien, c'est qu'on trouve de tout et très vite au chemin de traverse, c'est un vrai paradis.

Au lieu de regarder la foule et de rester planté là, il est peut être le temps de rentrer dans un magasin est de fouiller pour trouver se qu'elle cherche, elle commence à avancer tout en évittant les gens qui ce trouvent sur son passage, elle ne va quand même pas leurs rentrer dedant. Un peu au loing, elle voit une pancarte où l'on peut lire: déco maison Ho!!! vite rentrer, il y a certainement ce qu'elle veut. Elle se dépéche d'y aller faire un tour, on ne sais jamais, il n'y a peut être pas qu'elle qui veut des rideaux parfumés à la pomme et cette personne ou ces personnes qui veulent la même chose qu'elle sont certainement plus rapide, et qui sait, il n'y en a plus.... vaux mieux aller voir, on ne sait jamais.

Quelques secondes s'écoules et la voilà à l'entré du magasin, elle ouvre la porte. elle a même pas mit un pied dedant qu'elle se fait vite fait aborder par le vendeur mais nancy lui dit juste bonjour avec un grand sourire et ce dirige ailleurs en espérant de ne pas l'avoir vexé, le plus important et de trouver les rideaux et de vite repartir. Parmis tant de choix c'est difficile, il sont tous aussi jolis les un que les autres et ils sentent prèsque tous la pomme, ça complique les choses mais finallement, elle en voit un en tissus très doux avec des motifs de pommes et sa sent...le pomme!! c'est parfait, celui ci lui convient parfaitement, pas d'hésitation, aller!!! c'est partit pour l'achat.
Quelques secondes plus tard... nancy est dehors avec son sac à la main où se trouve les rideaux.
Toute contente la jeune fille se dirige là où elle va, se son ses pas qui la guident mais d'un coup elle se fait bousculer.

-aie... attention dit elle calmemant.

Comment ce fait t'il que cet endroit est aussi peuplé, Nancy regarde:

-Ho le concoure de potion magique... !! j'avais oublié, c'est super!!!! continue t'elle.

Et oui, aujourd'hui est le jour où se déroule le concoure où tout un tas d'amateurs qui laissent libre court à leurs dons, enfin ce n'est pas un don, non, ce sont des gens normaux qui veulent montrer leurs expérimentations pour les potions, ou même pour juste gagner le prix ou... Pour faire les malins!! non!!... ne tirons pas de conclusion trop attive,
Nancy se retourne, elle a oublié de s'excuser pour avoir bousculer une personne, mais qui?

-excusée moi de vous avoir basculer, en regardant le concour j'ai oublié de m'exuser, et c'est sur qu'avec autent de monde....
Bon, C'est peut être pas Nancy qui l'a bouculé mais... vaux mieux s'excuser quand même, par pur pollitesse.

Spoiler:

Mais que faisait donc Bradley ? Elle était si distraite. Au lieu d'une poudre de Pierre de Lune, elle avait failli mettre celle de corne de licorne. Pourtant leur différence était flagrante ! La couleur de la première était légèrement bleutée tandis que la poudre de corne de licorne est d'un blanc immaculé. Et la première était deux fois plus dense que la seconde !

Heureusement pour le blason de Poudlard, qui, avait besoin d'être redorer et non pas d'être sali encore plus qu'il ne l'était, Noa était particulièrement attentive. Concocter une potion est quelque chose de très important à l'épreuve des B.U.S.E. C'est presque élémentaire quand on veut avoir une belle carte de visite.

En moins d'un quart d'heure, le niveau de la potion de Bradley et de Noa était presque égale à celle des deux autres concurrents. Noa arrêta une fois de plus la main de Bradley, prête à faire une énorme bêtise. Ne savait-elle donc pas que l'ajout de Branchiflore à un philtre d'amour équivalait à une superbe explosion ? Et Noa qui la prenait pour une virtuose de la Potion.

Le concours était sur le point de se terminer. De justesse, Noa ajouta une pincée de Mandragore séchée, ce qui donna à la plante un reflet d'un bleu pâle. La potion de Noa sentait la... Et puis non ! Personne à part elle ne le saurait jamais. c'était sa potion, et même si Lyle Bradley avait été à ses côtés, Noa était persuadée que la couleur de la potion, ainsi que les senteurs étaient adressés à Noa, et à elle seule.

Bon, c'était beau ça. On prend le prix, on l'offre à Bradley parce que c'est pas intéressant, tout compte fait, et on descend de l'estrade !

Et devinez quoi ? C'est exactement ce que Noa a fait.

Le concert l'intéressait bien mais, elle avait besoin de rentrer, de prendre un bon bain relaxant et de déguster un chocolat chaud en lisant son livre préféré.

Mais bon, la jeune fille devait d'abord s'arrêtait devant son Pr. pour s'excuser. C'était de la politesse élémentaire, mais c'en était quand même.

Noa s'avança vers sa directrice. Quelle ne fut pas sa surprise de la voir en grande conversation avec deux enfants, tous deux âgés de 11 ans, apparemment.

Noa, tout sourire, était aux côtés de sa directrice.

"Veuillez m'excuser de ma conduite Pr. Il est vrai qu'agir ainsi est une attitude digne d'un enfant mal élevé. Ce n'est vraiment pas ce qu'il fallait à Poudlard"

Bouh, la menteuse ! Elle était particulièrement fière de sa conduite, qu'elle jugeait par ailleurs irréprochable. Ce concours, c'était juste un peu de piment dans sa pauvre vie.

Noa se retourna un instant pour observer ce que faisait Bradley. Mais à peine se fut elle retourner qu'une personne particulièrement hilarante s'adressa à elle :

"Excusez-moi de vous avoir bousculé. En regardant le concours j'ai oublié de m'excuser, et c'est sûr qu'avec autant de monde..."

Voilà en quelques mots ce qui amusait Noa.

Noa n'avait pas était bousculée. Elle s'était toujours tenue fière et droite, et c'était tant mieux. Ensuite, sans le vouloir, la Serdaigle remarqua l'accoutrement de la jeune femme en face d'elle. Elle portait une drôle de robe violette, un chapeau de paille qualifiable de campagnard, et d'étranges boucles d'oreilles ainsi qu'un collier. Il n'était pas du genre de Noa de rire des habits d'autrui, mais le contexte était si unique qu'elle ne put s'empêcher d'élargir son sourire.

"Vous devez sûrement vous trompez, Mademoiselle. Vous ne m'avez pas heurtée. Mais je constate que votre paquet est déchiré. Si je ne m'abuse vous avez perdu quelque chose."

Plus loin, en effet, Noa avait remarqué quelque chose qui ressemblait fort à des rideaux. Le tissu traînait par terre, et à ce que la Sang-Pur voyait, il avait été piétinée par une foule considérable de personne.

Nanako n'avait pas dormit. Elle savait se qui l'attendait, en était trés exitée et ne voulait en aucun cas dormir, par peur de voir que se n'était qu'un rêve.
C'est donc fatiguée mais impatiente, qu'elle rejoind sont père pour le petit déjeuner.

-bonjour papa, dit elle en sachant qu'elle n'aurait pas de réponse.

En effet, il ne lui répondit pas, absorber par son journal. Elle aurait pu danser sur la table qu'il ne l'aurait même pas remarqué.

-C'est bien ma veine, rumina t'il, comme si se fichue concours aller aranger les choses...

-qu'y a t'il papa? demanda elle quand même.

Il dégna lui jeter un coup d'oeil, la toisa, puis reprit la lecture de son journal. Sa, dans son language exclusivement résérvé a elle sa voulait dire : attend que je finisse se que je suis en train de faire et on verra si je te répond.

message reçu, mais croit moi que tu le veuille ou non tu va me le dire se qu'il ne va pas... se dit elle en lorgnant sur le journal.

Elle finit de petit déjeuner en silence et monta se préparer dans sa chambre. Elle fit tout cela très vite, et une fois terminé tendit l'oreille.
Elle entendit un bruit qui de chaise poussé puis des pas lourds. Un craquement sur le parqué tout proche lui indiqua que sont père venait la voir. Elle décola sont oreille de la porte, courut jusqu'a sont lit et eu juste le temps de s'assoir comme il faut avant qu'il ne frappe a la porte. Elle lui dit d'entrer et cacha son air étonné. Cette situation était encore inédite. maintenant elle devait se faire attentive car son père pouvait en dire plus de par son comportement que ses paroles.

-qu'y a t'il papa? demanda elle dans un air de déjà vue.

-Nous allons acheter tes fournitures scolaires sur le chemin de traverse. Cepandant, un inprévue est survenue, et je n'ai eu cette information que se matin en lisant mon journal. un concours de potion a été organisé aujourd'hui. je te prirais donc de faire attention au gens autour de toi.

Il roula des yeux, se qu'y voulait dire : vu ta mal adresse, je n'ai pas envie de payer pour tes erreurs a ta place. Elle ne s'en formalisa pas, abituée a ses rallerie muette. ne percevant aucune réaction de sa part, il continua :

-Moi aussi j'ai quelques affaires a régler sur le chemin de traverse. je te laisserais donc quelques instants. Mais nous verrons cela une fois là bas. Tu a dix minutes pour finir de te préparer.

sur cette phrase, il sortie sans un regard en arrière. mais Nanako avait trés bien compris le : Moi aussi j'ai quelque affaire a régler sur le chemin de traverse, je te l'aisserais donc quelque instant.
sa, sa voulais dire : je ne veux pas que tu sabote mes affaires. Surtout pas celle là. Alors ne viens pas me coller au basque.

Elle fini de se préparer et dessendit les escaliers. Son père l'attendait, devant la cheminée. Il attendit que Nanako soit bien descendu et prête a l'écouter.

-Nous allons passer par le réseau des cheminées pour aller plus vite. je vais t'expliquer, dit il en répondant a la question muette de nanako. Tu prend de la poudre, dit il en montrant un pot qui en était renplie, tu te place au milieu de la cheminée et tu dit bien fort et en articulant "chemin de traverse". va y.

nanako pris de la poudre, se plassa au milieu de la cheminée et regarda sont père. celui si hocha la tête avec irritation, mon manque de conviction quand a sa "méthode rapide" devait l'irrité. nanako, les larmes au yeux a cause de la poussière, pensa qu'il valait mieux ne pas inspirer trop fort et par la bouche, vue l'effet sur ses yeux.

Chemin de traverse, dit elle distinctement.

Allors, elle ferma les yeux, ayant peur de vomir. parce qu'elle c'était mise a tourner, trés vite. par peur de trébucher ou de s'acrocher a quelque part, elle s'apliqua a garder ses membres le long de sont corps. puis, aprés des secondes qui lui avait parut infinie, elle cessa de tourner.

-pousse toi petite, des gens vont arriver, ordonna une voix dans sont dos.

Elle s'éxecute, et juste quelque seconde plus tard, sont père apparaît dans la cheminée, juste assé grande pour qu'il puisse se tenir debout.
Sans un mot, il entraîne Nanako vers les poubelles, tape de sa baguette trois pierre et attend. Les briques se mette alors a bougé, se tasse, comme pour faire un passage. Des que les dernières briques eurent cessé de bougé, et que la poussière se soit dispèrsée, nanako ouvre de grand yeux émerveillé. Une grande rue, pleine de monde, s'étant au loin, devans elle.

Wouha,fut sa seul réaction.

elle se rendit compte que sont père avait déjà commencer sa progression et qu'il n'était pas prés a l'attendre. elle courut pour le rattraper et tout en marchant, essaya de regarder de partout en même temps. Des magasins, plein de magasins et encore des magasins a perte de vue. Il y a de tout. Un pour les potions, pour les vêtements, pour les livres, pour les bagettes et ...de faces et attrape?! mais le batiment le plus imposant, était la banque. Gringotts, la banque des sorciers. et apparement, c'était vers la banque que sont père la guidé.

Aprés être ressortie de la banque (avec les yeux brillant d'éxitation), Elle regarda la liste des fournitures.Il était aussi écrit que les élèves pouvaient avoir des animaux. cela tombait bien, parce que nanako ne voulait pas partir au collège sans Eclat de Soie.

- papa, par quoi nous allons commencer? demande Nanako.

-et bien, dabord au magasin de potions, puis chez "madame Guipure". nous aviserons ensuite.

Aprés être passer dans prartiquement tout les magasins, nanako commencer a avoir faim. mais elle n'osa pas l'avouer a son père.
Il ne resté plus que le magasin de manuel scolaire : Fleurie et Bott. et juste a côté, régnée une agitation peu commune, même pour cette rue.

Se doit être le concours de potion dont papa m'a parlé, se dit elle en levant le plus possible la tête.

Elle suivit sont père qui était déja chez Fleurie et Bott. Elle demanda ses livres a un homme trés simpathique, qui la regardé toujours avec le sourire. Elle paya son achat et sortie. Son père se retourna alors vers elle et la regarda.

-maintenant que nous avons fini d'acheter tes affaires, il faut que je règle les miennes. Alors, tu peux marcher le long de la rue mais ne t'éloigne pas trop, c'est compris? dit il en la regardant a peine.

nanako soupira. Sa aussi sa signifié quelque chose et elle commencée a en avoir marre de tout ses messages codé. Traduction : Tu na pas intéré a me désobéir et a te perdre parce que je ne viendrais pas te chercher. pas besoin que tu attire l'attention des gens sur nous.

-oui papa, je pense que je vais regarder le concour en attendant que tu revienne. ou doit on se rejoindre et a quelle heure? demanda elle, en esperant avoir du temps devant elle.

-Au "chaudron baveur". le pub ou nous sommes arriver par la cheminée. dans...2h. Tiens, dit il en me tendant sont poing, je te donne de l'argent pour que tu puisse...en faire se que tu veux, dit il avec indiférence.

nanako avait biensûr déjà appris la valeur des pièces. Mais elle n'en avait jamais vu en vrai. Elle fut donc ravie de voir les petites pièces brillantes dans la main de sont père.

-je te donne dix mornilles et vingt noises. Cela devrait te suffire. Bien, maintenant j'y vais.

Et nanako se retrouva seule, dans la rue bondée, avec ses achats et ses pièce de monnaie. Elle été soulager de d'avoir vue le visage impassible de son père qui, pour une fois, c'était exprimer en toute sincérité. Cette pensée la fit rire.
Nanako était étonné de la soudaine gentilesse de son père. jamais il ne lui avait donné de l'argent! Elle était tellement contente, qu'elle ne voulue pas les dépensée maintenant. Elle se raprocha un peu plus de l'attroupement devant les participants au concours de potion. En avançant, elle marcha sur quelque chose et faillie tombée dessus. Quand elle regarda, elle reconnue...des rideaux? Elle regarda autour d'elle et vit une jeune femme, au cheveux chatain regarder dans sa direction. Nanako su tout de suite que les rideaux lui appartenait, a cause de son sac vide qu'elle tenait dans la main. Il y avait aussi une fille, peut être du même âge que Nanako, trés belle avec ses cheveux noir, qui la regardé. Elle pris les rideaux dans sa main et s'avança vers la jeune femme. Celle ci était encore plus belle de prés que de loin.

-heuh, commença Nanako, est ce a vous?

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